Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

vendredi, février 18

Le piège à con


Tout indique qu'il y aura des élections fédérales ce printemps.

En fin de semaine passée, les fumistes... euh... bloquistes ont donné un mandat ''clair'' à leur ''empereur'', 95.6%. Il pourra ainsi continuer de demander l'impossible au gouvernement canadien, sachant que son parti ne prendra jamais le pouvoir.

Duceppe a estimé que le fédéralisme canadien «n'est pas rentable», et même qu'il est «devenu ruineux pour le Québec».

Constatant ce ''fait'' qui n'est pas faux, que fait-il encore à Ottawa? Ah oui, lui et ses moutons collectent le chèque. 147 000$ par année, de base. Non mais, vous voyez autre chose?

Je l'écoutais lundi matin aux nouvelles de notre radio local et j'ai dû arrêter... je suis devenu enragé.

Une chance que la vie est belle à Matagami!
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jeudi, février 10

Les profits de Pédalo...

La médiocrité de l'information!

(...) le problème de nos journalistes est simple: ils sont devenus interchangeables. Ils partagent les mêmes compétences, la même approche des événements, utilisent les mêmes sources et posent des questions semblables. En somme, ils sont facilement remplaçables. Pour preuve, certaines entreprises de presse poursuivent leurs activités commerciales sans réel dommage, et ce, malgré des conflits de travail interminables. (Cyberpresse)

Non seulement la poubelle à Péladeau poursuit ses activités commerciales sans réel dommage, mais elle fait plus d'argent depuis le début du conflit. Pas de journalistes à payer, mais le journal est aussi lu qu'avant. À plusieurs endroits ils doivent le donner, mais il est lu... et il vend beaucoup de publicité!

Pour Péladeau, l'information n'est qu'une façon comme une autre de faire du fric. C'est pas la qualité qui prime, mais la quantité d'insipidités, de chiens morts, en fait, toutes cochonneries contenant assez de mots pour remplir sa poubelle. Il vend un journal guère plus édifiant à lire qu'un Publi-Sac, mais bon... qui mange de la marde mes employés, même chose pour mes concitoyens.

Péladeau, c'est un dé-bâtisseur. Il existe, parce que son père est né avant lui. Avec le peu de respect que ce gars-là a pour ses employés, et aussi ses concitoyens, disons le, sans son père, il serait sur le B.S.

Y'a personne qui voudrait travailler avec lui. Parce que les têtes enflées dans la vie, sont rapidement reconnues et jamais appréciées... autrement que par les têteux de boss!
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jeudi, février 3

$$$Droit de parole$$$

Je continue de suivre l'actualité...

PKP a droit de parole, le Conseil du patronat a droit de parole, libéraux, péquistes, adéquiste aussi... mais pas Amir Khadir.

Et après ça, on nous dira qu'on vit dans un pays libre!

Cette caricature de Garnotte m'enlève les mots de la bouche, pis le goût d'en rajouter...
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