Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

jeudi, novembre 5

Pas facile à comprendre

La démocratie prouve sa solidité par les absurdités qu'on entasse sur elle, sans l'ébranler. Victor Hugo

Un peu en retard...

Gérald Tremblay a été réélu malgré tous les scandales entourant son administration. Et il y en a plusieurs comme lui dans la province.

Il ne savait rien, ne voyait rien, qu'il dit. Faut croire que ceux qui ont voté pour lui sont aussi aveugles!

Une super bonne nouvelle. Les Adélois ont montré la sortie à tous les candidats de l'équipe Descoteaux. Ça va prendre encore un certain temps avant que les médias s'aperçoivent que Ste-Adèle existe, mais l'équipe qui vient d'être élue dans ce petit patelin m'inspire confiance. Je lis André Bérard depuis ses débuts et je continuerai de le faire.

Il a fait un travail de journalisme remarquable. S'il n'est pas la seule raison de ce changement, il en est une très bonne. Il s'est tenu debout. Bravo André.

Bravo gens de Ste-Adèle!

Il y avait un jardin
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3 commentaire(s):

  • At 5 novembre 2009 à 08 h 44, Blogger Zoreilles said…

    Oui, bravo aux gens de Ste-Adèle et à André Bérard qui a su marcher hors des sentiers battus et bien les informer depuis toujours. Du journalisme citoyen à son meilleur. Je pense qu'un jour, on étudiera le phénomène « Bérard » dans les universités... si ce n'est pas déjà en train de se faire! On appelle ces gens-là des agents de changements sociaux...

    Il y avait un jardin... Georges Moustaki... J'ai usé ses 33 tours à les écouter tout au long de mon adolescence. Lui, Félix Leclerc, Vigneault, Gauthier, Enrico Macias, Joe Dassin, Janis Joplin, Peter, Paul and Mary, Cat Stevens, George Langford et bien d'autres. Je n'aurais jamais, dans mes rêves les plus fous, imaginé le voir en spectacle, à Rouyn-Noranda.

    Puis un jour, il y a quelques années, le miracle s'est produit. Georges Moustaki au Théâtre du Cuivre? Je croyais à un canular. J'ai fait la file pour me procurer un billet. C'était à guichet fermé dans le temps de le dire...

    Même dans le stationnement et le hall d'entrée, avant le début du spectacle, il y avait une ambiance de recueillement on aurait dit. J'ai revu plein de monde de mon âge, des amis d'école perdus de vue depuis longtemps mais retrouvés là, comme par enchantement. Un rendez-vous avec notre adolescence probablement...

    20 heures... Les lumières s'éteignent, le silence s'installe comme par magie dans la salle comble. La scène s'allume, il apparaît sous les projecteurs, tout vêtu de blanc, sa barbe, sa guitare, même pas de petit banc... De sa voix chaude, il a dit seulement « Bonsoir » et nous étions déchaînés. Il nous a chanté tout ce qu'on a voulu, d'une générosité sans limite, sans entracte, il s'est livré comme le grand qu'il est, qu'il avait toujours été.

    Au sortir de cette soirée, nous étions sur un nuage. Une nuit douce et chaude. On restait là, dehors, près de l'entrée, entassés, à se retrouvailler dans les câlins et les effusions de joie, à ne plus vouloir s'en aller et chanter ses chansons encore un peu.

     
  • At 5 novembre 2009 à 10 h 46, Blogger André Bérard said…

    Merci Guy et Zoreilles, de très belles tapes dans le dos! Sincèrement.

     
  • At 5 novembre 2009 à 20 h 09, Blogger Guy Vandal said…

    Zoreilles: Agent de changement social André Bérard? Criss que c'est vrai!

    Et pis ben, quel beau "témoignage" au sujet de Monsieur Moustaki

    Toi et moi n'avons pas beaucoup de différence d'âge, nous avons entendu pas mal la même musique, celle qui était à la "mode", dans le temps.

    La mode a changé, la convergence a pris l'affaire en main, c'est insipide, mais ça vend bien. C'est ça, la convergence.

    Une chance, y'a les souvenirs. :o)

    André: C'est des tapes dans le dos pleinement méritées, je ne le dirai jamais assez. Bon là!

     

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