Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

samedi, mars 8

L'avenir commence... astheure!

J'ai encore cette chanson dans la tête, cinq jour plus tard...

L'avenir commence astheure. C'est vrai, l'avenir commence dans la seconde qui s'en vient. Si je suis content d'avoir appris une chose au bout de 48 ans, c'est bien celle-là.

Hier, c'est passé.
Demain, c'est trop loin, serai-je même encore vivant?
Aujourd'hui, tout est là....

Oui mais, l'avenir commence astheure!?!

Bottons les fesses des média-merdiques
Les harassant dans nos carnets
Carnetier, l'avenir de l'information c'est toé!

Cerner de "quoi" on veut être les précurseurs, tu dis Esperanza? T'en ai un pis tu le sais pas.

Les carnetiers sont l'avenir de l'information. En ce sens, ils sont tous des précurseurs. Mais faut être patient...

P.S. Toi Zoreilles, ce billet ne te concerne (presque) pas. Tu ne commentes pas l'actualité, que tu dis, mais tu nous rends l'actualité meilleure. Et ça, c'est très loin de rien.

La vie est vraiment belle, aussi.
@

3 commentaire(s):

  • At 8 mars 2008 à 09 h 08, Blogger Zoreilles said…

    Juste pour te « contrairer », c'est moi qui laisserai le premier commentaire!!!

    Mais oui, Guy, je commente l'actualité pis rien qu'en masse... Mais ailleurs que chez moi.

    Autrement dit, j'ai fait le choix (chez Zoreilles) de parler de la vie, de la nature, des petits événements, de l'amour de ma région, de l'environnement, de l'amitié, de mes petites histoires et des situations qu'on est tous susceptibles de rencontrer au quotidien. En fait, l'actualité, je la vis tellement, à cause de mon métier, que quand je suis en situation de loisir, j'aime parler d'autres choses!

    Parce que des blogues qui traitent de l'actualité, politique ou sociale, il y en a beaucoup et des excellents. Des moins connus ou moins fréquentés surtout, ce qui ne signifie pas qu'ils soient moins bons, bien au contraire.

    J'aime les gens qui n'ont aucune prétention mais des opinions et des convictions, des gens qui réfléchissent en tenant compte des autres, des courants de pensée qui prévalent, d'une information qui sache s'abreuver à plusieurs sources, etc. Et dans ce temps-là, mon cher Guy, je suis ravie de mettre mon grain de sel!!!

    J'ai toujours été convaincue et encore plus maintenant que l'univers des blogues avait un réel impact, une influence certaine sur l'opinion du peuple. Et ce, pour plusieurs raisons.

     
  • At 8 mars 2008 à 18 h 21, Anonymous Anonyme said…

    C'est vrai Guy que Zoreilles commente l'actualité, ailleurs que chez-elle. J'ai lu ses commentaires, à différents endroits, mais mes préférés, elle les a laissés chez " Vieux Henri" (Angry Zoreilles), toujours de manière très pertinente.

    Moi, je ne commente pas l'actualité, ni la politique, parce que je n'y connais rien. Et je ne sais plus qui a dit " Mieux vaut se taire, et passer pour un idiot, que d'ouvrir la bouche et confirmer le fait ", mais j'essaie de l'appliquer.

    Ceci dit, c'est vrai que tu as un point de vue original et différent, sur bien des sujets, et j'aime m'interroger...même sur ce que je ne comprends pas.

    Il y a de la neige Guy à Montréal cette année. Je n'en ai jamais vu autant ici. Et la ville me semble presque belle !

     
  • At 8 mars 2008 à 23 h 51, Blogger Guy Vandal said…

    Zoreilles: En fait, je voulais dire que tu ne commentais pas l'actualité dans ton carnet. Tu m'as déjà expliqué ce choix et j'avais très bien compris.

    Sauf que c'est vrai, j'oubliais que tu commentais l'actualité, ailleurs, et brillamment. Je dois t'avoir pris pour acquise.

    Pourtant...

    Lise: J'aime vraiment ça quand tu laisses un commentaire. C'est grâce à toi si je me suis "réveillé" au sujet de Zoreilles.

    Vaut mieux se taire et passer pour un imbécile...? J'y crois aussi. J'adore cette pensée.

    De savoir que tu aime bien me lire, c'est vraiment bon pour mon égo de carnetier. J'aime ça moi les gens intelligents, que veux-tu?

    Quand la neige vient tout juste de tomber, c'est très beau à Montréal. C'est pas longtemps après... que ça se gâte. Qu'en penses-tu?

    Merci Lise. Je ne te le dirai jamais assez...

     

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