Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

lundi, septembre 24

Cogitation(s)


Bon, ici, y'en a pas de beaux nounours qui viennent "trainer" à la maison. Si ça arrive un jour, c'est qu'il n'y aura plus d'humains. Mais nous avons des écureuils... qui viennent "bouffer" dans l'escalier. Je sais pas si M. Perron a peur des écureuils ???

Effectivement si on laisse aller, la ville dans un certain temps aura l’ambiance d’un zoo mal géré. (Gaston Perron, Repentigny.)

M. Perron, il faut soigner ses peurs, pas les transférer au voisin. La peur, c'est une illusion. Vous avez peur, l'autre pas, pourquoi ? Vous n'êtes pas obligé de me croire mais, un ours m'a déja "liché" la main, et il n'était pas dans un zoo. À l'époque je plantais des arbres et nous avions un "ami" qui reluquait nos déchets. Si vous avez peur M. Perron, consultez. Parce que vos peurs sont des illusions... que vous n'aurez plus, quand vous aurez appris à vivre un jour à la fois !
***
Je suis un éternel rêveur...

Hé confrères carnetiers, avez-vous remarqué ? Vous n'en parlez pas, êtes-vous estomaqués ?

Moi en tout cas, je le suis. Je suis très, très impressionné par un carnetier que vous connaissez probablement tous, André Bérard, de Blogue-Notes. Ce citoyen de Ste-Adèle me fait rêver. Vraiment. Je le lis religieusement et je constate que depuis qu'il "sévit" à Ste-Adèle, le maire a démissionné, le directeur de la ville a sacré le camp... et c'est pas fini. Tout ça grâce à un simple carnetier, comme vous et moi. Je dis un simple carnetier, mais ce n'est pas si simple. Ça prend du courage... le contraire de la peur, M. Perron !

C'est pas rien. Ça veut dire que nous aussi, chacun de notre côté, avons le même pouvoir. C'est vrai ça. On ne le prend pas, pour l'instant, mais nous l'avons !!!

Non mais, si un mouvement pour la transparence populaire naissait... grâce aux carnets ? Je vous l'ai dit, je suis un éternel rêveur...
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3 commentaire(s):

  • At 24 septembre 2007 à 19 h 54, Blogger Zoreilles said…

    Et moi qui venais te lire pour me changer des ours et des peurs irraisonnées...

    Pauvre Monsieur, il doit se sentir ostracisé pas à peu près! Il y en a qui vont croire que je l'ai embauché pour faire grimper mes cotes d'écoute! On se serait cru des bouts dans une tribune téléphonique d'une radio poubelle.

    J'aime bien, Guy, quand tu parles de rêve, il faut toujours commencer par là d'ailleurs. Ensuite, on passe par-dessus nos peurs, tu as encore raison, on fonce par en avant, avec tout ce qu'on est et pour tout ce en quoi on croit, c'est probablement ce que fait André Bérard.

    Un fichu de beau billet, Guy, t'es vraiment en feu. Je pense que je vais te laisser le dernier mot, ce soir, tu mérites bien ça!

    ;o)

     
  • At 24 septembre 2007 à 20 h 27, Blogger Guy Vandal said…

    @ Zoreilles, Non mais, t'es donc ben fine...

    Je pense que je vais te laisser le dernier mot, ce soir, tu mérites bien ça!

    Savais-tu, belle marquise, quel bien tu nous fais quand tu laisses un commentaire dans nos carnets? Sérieux, le sais-tu ?

    Ça mérite vraiment, un énorme câlin... Hmmm !!!

     
  • At 25 septembre 2007 à 08 h 28, Blogger André Bérard said…

    @ Guy

    Tous ces compliments commencent à me gêner, sincèrement. L'autre jour, un voisin a réalisé que j'étais «André Bérard», le journaliste blogueur de Sainte-Adèle. Il s'est empressé de me serrer la main, comme si j'étais une «rock star». Je ne fais que mon travail. Je pose des questions, on me donne des réponses, je repose des questions, on me redonne des réponses et ainsi de suite.

    Je ne suis pas friand de gloire. Je constate cependant que mon approche, mon blogue et mes textes journalistiques, répondent à un besoin. Lequel? Je n'en sais encore trop rien. Peut-être que le journalisme en région est tellement devenu morose, que le seul fait de pratiquer ce métier avec un minimum de rigueur soulève l'enthousiasme.

    Je fais les choses à ma façon, sans me questionner, et il semble que ça fonctionne. Tant mieux pour l'information. Je dois aussi souligner le travail du journal Accès, qui soutient le journalisme civique de façon remarquable et qui fait preuve d'un grand courage lors de la publication de certains dossiers. J’ai aussi la chance de travailler avec des informateurs de qualité, et des collaborateurs, dont cette avocate bénévole, qui me réconcilie un peu avec cette profession.

    Merci encore une fois pour tes bons commentaires, c'est encourageant et stimulant.

     

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