Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

vendredi, mai 4

Payé pour ne pas dire... la suite.

Je suis rarement d'accord avec ce qu'écrit Lise Payette, mais j'ai beaucoup de respect pour les gens qui ont des convictions...

Les chroniques de Lise Payette ne paraîtront plus dans Le Journal de Montréal. L'ex-ministre péquiste a mis fin hier à sa collaboration avec le quotidien.

Cette "nouvelle" a été publiée le 25 avril. Le lendemain, dans son blogue, Martineau, pour qui traverser une ligne de piquetage semble ne poser aucun problème de conscience, jette son fiel sur sa collègue de travail, non pas parce qu'elle a décidé de ne plus écrire dans la poubelle à Péladeau, mais parce qu'elle a écrit que les femmes travaillaient plus et mieux que les hommes.

Remplacez femmes par Blancs et hommes par Noirs, et vous avez la phrase que j’ai écrite plus haut : « Les Blancs travaillent plus et mieux que les Noirs. »

Ce texte de Martineau ne sent pas bon. Comme d'habitude, il s'invente une théorie qu'il croit être la découverte du siècle... Lise Payette tiendrait des propos racistes. Et pour arriver à cette conclusion, comme d'habitude, il déforme les propos de sa "victime".

Le texte "controversé" de Lise Payette a été publié le 19 avril dans la poubelle à Péladeau. Martineau a réagi 7 jours plus tard dans son blogue... soit le lendemain où son ex-consoeur a décidé de ne plus sévir dans ladite poubelle. Un drôle de hasard, ne trouvez-vous pas ?

Il n'y a pas de hasard...

Je ne pense pas qu'on puisse dire que Lise Payette tient des propos racistes parce qu'elle pense que les femmes travaillent plus et mieux que les hommes. Elle ne mérite pas que Martineau lui tombe dessus en déformant ce qu'elle écrit. Mais Martineau se sent probablement très "cheap" de continuer d'écrire dans les poubelles à Péladeau et il tente peut-être de soulager sa conscience en jetant son fiel sur Lise Payette.

Je n'avais déjà pas beaucoup de respect pour ce chroniqueur. Il prouve dans son billet du 26 avril dernier qu'il est non seulement un scab, mais aussi un chroniqueur insignifiant, pour qui écrire n'importe quoi est depuis longtemps la marque de commerce. Luc Lavoie, vice-président quelconque et porte-parole de Quebecor, doit être fier de sa nouvelle recrue.

P.S. Parlant de Luc Lavoie, c'est ma journée "bitch", il n'a pas aimé ce qu'a écrit Patrick Lagacé à son sujet et il réplique: Je me permets néanmoins de vous dire que vous êtes un petit mec sans envergure et sans noblesse. L'abus que vous faites de votre position n'est que le reflet de votre insignifiance.

Savez quoi ? C'est la première fois que je suis d'accord avec Luc Lavoie !
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2 commentaire(s):

  • At 4 mai 2007 à 07 h 48, Blogger Zoreilles said…

    Si Lise Payette a montré assez solidarité pour ne plus vouloir franchir virtuellement les lignes de piquetage du Journal de Québec, c'est tout à son honneur et je la reconnais bien là.

    Quant à Martineau, il est égal à lui-même, c'est-à-dire toujours un peu guidoune. A-t-il au moins une ou deux convictions?

     
  • At 5 mai 2007 à 16 h 49, Anonymous Anonyme said…

    Martineau n'est pas un syndiqué du Journal mais un pigiste...Il ne manque de aucun respect aux pigistes...Il doit nourrir sa famille...Quand les syndiqués aideront les pigistes alors les pigistes aideront les syndiqués...mais nous n' en sommes pas la ....Quand à Lise Payette ses commentaires de plus en plus séniles l' ont conduit à la page 26 les bonnes semaines...Martineau demeure un opportuniste de première pour ce qui est des ses opinions mais on ne peut le blamer de continuer à gagner sa vie....

     

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