Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

lundi, avril 23

Je résume, tu résumes, elle résume...

C'est également vrai que l'authenticité se déchiffre à travers les écrits. Ça ne ment pas. (Le vieux Henri.)

Il y a des moments dans la vie qui portent à réflexion, comme par exemple un séjour à Rouyn-Noranda.

Si l'actualité ne me blasait pas autant en ce lundi, je commenterais le lock-out du Journal de Québec. Un jour, un livre sera peut-être écrit... Mépris pour les nuls. Auteur Pierre-Karl Péladeau, préface Luc Lavoie...

Vous connaissez les rencontres style Yulblog ? Il y en a une à tous les premiers mercredi du mois à Montréal et je me dis toujours que je devrais y aller. J'ai participé à ma première la semaine passée, mais ce n'était pas à Montréal. Nous n'étions que trois, mais je n'oublierai jamais cette rencontre.

Nous ne nous étions pas donner de mot d'ordre, mais la "magie" se poursuivant, nous avons tous les trois pondu un billet pour commenter ce très riche moment présent. Et ce très riche moment présent me donne nettement plus envie de rajouter, que l'actualité...

Dans son billet, le vieux Henri écrit ceci: Je suis désolé que notre rencontre se soit terminée ainsi mais d'une autre façon, ça scelle encore davantage notre amitié et notre complicité.

Henri a une vieille âme. Quand il parle d'amitié, il sait de quoi il cause. Pensez à vos meilleurs amis. Vous savez, les véritablement authentiques ? Ceux-là, ils vous marquent. Vous ne pouvez pas les oublier car chaque fois que vous pensez à eux, c'est doux entre vos deux "zoreilles". Aujourd'hui, j'ai ce précieux souvenir qu'a été notre Yulblog de la semaine dernière dans la tête, et je vais probablement y repenser toute la journée. Être passionné par la vie, ça cause un tas de problèmes, mais c'est tellement trippant...

Après avoir reconduit le vieux Henri, moi et Zoreilles avons continué la conversation. Quand dans son résumé de notre soirée elle écrit que... Blottie dans le dos de mon Crocodile Dundee...

Nous en avons parlé de son Crocodile Dundee. Oh ce qu'elle l'aime. Non mais essayez d'imaginer. Ça fait 33 ans qu'ils sont mariés... et elle parle de lui comme si elle venait de le rencontrer. C'est bien évident que Zoreilles vit un grand bonheur dans sa relation amoureuse. Mais elle le mérite totalement. Savez pourquoi ? Elle a compris que dans un être humain, il y a des défauts et des qualités. Et quand tu t'en choisis un, ou une, tu dois aimer ses qualités... et ses défauts.

Je garderai de Guy l'image d'un vieux chum apparu comme un arc-en-ciel dans ce café.

Là, c'est mon égo, parfois sur-dimensionné, qui pense. Mais avouez qu'un arc-en-ciel dans ce café, c'est assez fascinant à imaginer. Merci Zoreilles. Puisqu'on est dans les réflexions, j'en profite pour te dire que je t'aime. Il faut le dire à nos ami(e)s qu'on les aime. La vie est courte.

Cette rencontre m'a vraiment marqué. Assez pour je sente le besoin d'en rajouter. Je vais essayer de revenir normal... demain. En attendant, c'est très doux entre mes deux oreilles!
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2 commentaire(s):

  • At 23 avril 2007 à 21 h 11, Blogger Zoreilles said…

    Je faisais ma petite tournée avant de fermer l'ordi pour ce soir et voilà que je tombe sur ton nouveau billet tout frais, tout neuf.

    T'as bien saisi, Guy, je suis toujours très amoureuse mais ça ne fait pas 33 ans qu'on est mariés! Attends que je calcule... Notre amitié s'est transformée en amour, bang de même, le 14 août 1976 à 20 heures 15 à peu près mais nous nous sommes mariés le 20 mai 1978, ça fera bientôt 29 ans. J'avais 20 ans... et je les ai toujours un peu, des fois, que je me dis!

    Ben oui, un arc-en-ciel dans un café à Rouyn. Richard Desjardins a dû déjà écrire quelque chose là-dessus!

     
  • At 23 avril 2007 à 23 h 20, Blogger Guy Vandal said…

    Tu sais jeune fille qu'il n'y a pas beaucoup de différence entre 29, 33, 20...

    Tsé...

     

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