A beau sentir...

Qui revient de Rouyn !

Je viens tout juste d'arriver. Ma visite dans cette ville fût relativement agréable. Je me suis mis à rêver que je pourrais y rester. Mais c'est toujours comme ça quand je vais dans les régions. Je voudrais toujours y rester...

Évidemment que j'aimerais vous placoter de ma rencontre avec Zoreilles et le vieux Henri. Un vraiment beau moment présent. Ça ne s'est pas déroulé comme espéré avec ce jeune homme qu'est le vieux Henri. Si vous êtes un de ses lecteurs réguliers, vous avez probablement lu ce billet... (...) ça scelle encore davantage notre amitié et notre complicité.

Ça fait maintenant 5 ans que je connais virtuellement ce jeune vieux pote. De le voir en personne a été pour moi une belle petite joie. De savoir que dans sa tête, notre amitié, et notre complicité, est scellé, est pour moi très réjouissant. J'ai vu dans le carnetier Henri, un artiste. Et j'aime beaucoup les artistes. Je suis profondément convaincu qu'ils sont aussi important pour la société que la nourriture, ou l'air que l'on respire.

C'est un beau jeune homme le vieux Henri. Un jeune homme, mais une vieille âme. Vous ne vous trompez pas de l'apprécier...

Et Zoreilles...

J'avais bien senti, à travers ce qu'elle écrivait, que cette femme était spéciale. Notre rencontre me l'a confirmé. Zoreilles, c'est une extra-passionnée. Elle bouffe de la vie comme une outremangeuse. Elle est vraiment inspirante. Elle donne le goût d'oublier que, parfois, c'est brun de vivre. Quelle femme intéressante. Elle m'a donner la permission de lui faire un câlin. Un beau câlin, plein de sincérité. Sacré Zoreilles. Si tu savais comment je suis content, je ne m'étais pas trompé. J'avais bien flairé que tu n'étais pas n'importe qui. Tu me l'as confirmé...

Merci beaucoup le vieux Henri, et toi aussi Zoreilles. Je suis très content de vous connaitre un peu mieux. Vous êtes des "vrais". Et des vrais, nous en avons énormément besoin.

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